A travers l'histoire d'Albine de Montholon, fille d'un député de la noblesse et dernier amour de Napoléon à Saint-Hélène, le portrait de la France entre deux révolutions : celle de 1789 et celle de 1848.
Napoléon n'est pas mort d'un cancer de l'estomac, le 5 mai 1821 à Sainte-Hélène, il a été minutieusement assassiné par l'un de ses compagnons d'exil, le comte de Montholon. Telle est la thèse soutenue par R. Maury, économiste et passionné d'histoire napoléonienne.